Tziganes, Manouches, Romanichels, gitans, le nom de vos peuples invitent au voyage, à la route éternelle et à la liberté.

La vie, nomade, ne pas laisser de traces derrière soi si ce n’est que celle de la musique offerte au vent qui la siffle. 

Tziganes, Manouches, Gitans, Romanichels, tous  nos frères de misère victimes de la discrimination,  du racisme,  de la bêtise humaine.

Victime de vouloir être trop libres , insoumis , victime de l’ostracisme né de la volonté de contrôle des puissants qui ont créés des frontières, des lois, des circulaires, la propriété, l’argent par ivresse du pouvoir et pour tout contrôler.  

Ils ont installés des murs, des clôtures, des barbelets, des portails pour que tu ne rentres pas chez eux.

 Chez toi l’étranger, si l’est humble, ouvert et empathique est toujours invité près du feu de la communauté. 

Tzigane, Manouches,  Romanichels, Gitans,  

Frères du vent et des routes de poussière, j’envie votre liberté,  votre musique, il me tarde  un jour de tailler la route vers un avenir nomade vers des rencontres de hasard ou vers des foyers amis semés le long du chemin.